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mercredi 5 février 2025

Étude des Actes, chapitre 28, message 72, semaine 33, mardi

ÉTUDE QUOTIDIENNE DES ACTES
MESSAGE SOIXANTE-DOUZE

CONCLUSION (2)

SEMAINE 33 – MARDI
Lecture biblique : 1 Co 12:13 ; 15:45 ; He 10:12, 14  

Lire et prier : « Et ayant revêtu l’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé ; où il n’y a ni Grec ni Juif, circoncision ni incirconcision, barbare, Scythe, esclave, homme libre, mais Christ est tout et en tous » (Col 3:10-11) 


L’HOMME NOUVEAU, DANS LEQUEL CHRIST EST TOUT

Dans Colossiens 3:10-11, Paul dit : « Et ayant revêtu l’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé ; où il n’y a ni Grec ni Juif, circoncision ni incirconcision, barbare, Scythe, esclave, homme libre, mais Christ est tout et en tous ».  

Ici, nous voyons non seulement qu’il n’y a pas d’homme naturel dans l’homme nouveau, mais aussi qu’il n’y a aucune possibilité ni aucun espace pour aucune personne naturelle. Dans l’homme nouveau, il n’y a de place que pour Christ. Il est tous les membres de l’homme nouveau et Il est en tous les membres. Il est tout dans l’homme nouveau. En réalité, Il est l’homme nouveau, Son Corps (1 Co 12:13).  

En écrivant ces paroles, Paul a dû penser : « Je n’aurais pas dû parler aux frères à Jérusalem des Juifs et des Gentils. Je ne suis pas allé vers les Gentils ; je suis allé vers le peuple élu de Dieu. Tous ceux qui ont été sauvés par mon ministère sont le peuple de Dieu. Il les a choisis avant la fondation du monde. Il n’y avait certainement rien de mal à aller vers eux. Dans l’homme nouveau, il n’y a ni Juif ni Grec, il n’y a que Christ ».  

Dans Colossiens 3:10 et 11, Paul est clair, catégorique et absolu. Cela doit avoir été le résultat des deux années où il était en détention à Césarée. Alors qu’Éphésiens, Philippiens et Colossiens ont été écrits lors de la première captivité de Paul à Rome, Hébreux a été écrit après sa libération. Dans Hébreux, il est allé encore plus loin.  

Avant d’écrire cette Épître, il a dû penser : « Pourquoi ai-je si peu parlé dans Éphésiens du fait que Christ a aboli toutes les ordonnances ? J’aurais dû entrer beaucoup plus dans les détails. De même, ce que j’ai dit dans Philippiens et Colossiens était trop court. Je dois écrire une Épître plus longue pour montrer que toutes les choses du judaïsme ont pris fin et que Christ leur est supérieur ».  


LE CHRIST RÉVÉLÉ DANS HÉBREUX

Dans les treize chapitres d’Hébreux, Paul déprécie les éléments du judaïsme. Il va même jusqu’à démonter en morceaux chacune des questions cruciales du judaïsme. Il montre que les Juifs ont Dieu, mais que les croyants ont l’Homme-Dieu, Jésus-Christ. Il montre aussi que les anges sont des serviteurs. De plus, il démontre que Christ est supérieur à Moïse, Aaron et Josué.  

Dans Hébreux, Paul nous dit aussi qu’il n’y a plus d’offrande pour le péché. Selon la volonté de Dieu, Christ, Celui qui est tout-inclusif, est l’unique offrande. Ainsi, dans l’univers, il n’y a qu’une seule offrande qui est conforme à la volonté de Dieu. Dans Hébreux 10:9-10, il dit : « Il dit ensuite : Voici, je viens pour faire, ô Dieu, ta volonté. Il abolit le premier pour établir le second. C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes ».  

Cela indique que toutes les offrandes de l’Ancien Testament ont été abolies et remplacées par Christ comme unique offrande. Dans Hébreux 10:12 et 14, il dit : « Jésus, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu (…) Car, par une seule offrande, il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés ».  

Dans Hébreux 13:8, Paul dit : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement ». Avant Hébreux 13:8, Christ a changé, car Il est passé par l’incarnation et la résurrection. Par l’incarnation, Il s’est revêtu de la nature humaine. Cela signifie qu’Il a changé, passant d’Un qui n’avait que la nature divine à Un qui possède maintenant à la fois la nature divine et la nature humaine. Il était auparavant seulement Dieu, mais Il a changé et est devenu l’Homme-Dieu.  

De plus, dans Sa résurrection, Il, en tant que dernier Adam, a changé pour devenir l’Esprit qui donne la vie (1 Co 15:45). Après être passé par le processus d’incarnation, de vie humaine, de crucifixion, de résurrection et d’ascension, Il n’a plus changé et ne changera plus. Ainsi, Paul a eu l’audace de dire que Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.  

Dans Hébreux 13:13, il poursuit : « Sortons donc vers lui, hors du camp, en portant son opprobre ». Ici, le camp représente l’organisation humaine, en particulier celle du judaïsme. La parole de Paul ici se fonde sur le fait que Christ a été crucifié hors de la ville, hors du camp. Puisque Christ a été rejeté et a souffert hors du camp, nous devons sortir vers Lui hors du camp.  

Lorsqu’il a écrit cette partie d’Hébreux, Paul a peut-être pensé : « J’ai eu tort de retourner à Jérusalem. Jérusalem était le camp. Il n’y avait aucune nécessité d’y retourner pour s’occuper du judaïsme, car cela revenait à retourner au camp. Nous devons oublier Jérusalem et sortir du camp, en portant l’opprobre de Christ ».  

Paul est sorti du camp et a porté l’opprobre de Christ. Lorsqu’il voyageait de Césarée à Rome, il était hors du judaïsme, portant l’opprobre en tant que prisonnier. Mais, en portant l’opprobre hors du camp, il a magnifié Christ. J’espère que nous prendrons tous le temps de méditer sur les deux sujets abordés dans ce message : la vie de Paul comme un merveilleux témoin de Christ et la révélation divine complète dans les livres d’Éphésiens, Philippiens, Colossiens et Hébreux.  

Dans ces livres, il ne reste aucune base pour aucun mélange. Dans ces Épîtres, il n’y a de place que pour Christ.

Profitez davantage : Cantique 107

Étude des Actes, chapitre 28, message 72, semaine 33, lundi

ÉTUDE QUOTIDIENNE DES ACTES
MESSAGE SOIXANTE-DOUZE

CONCLUSION (2)

SEMAINE 33 – LUNDI
Lecture biblique : Lv 11:4-8 ; Ph 2:4

Lire et prier : « Car c’est lui qui est notre paix, lui qui des deux n’en a fait qu’un et qui a renversé le mur de séparation, l’inimitié, ayant anéanti par sa chair la loi des commandements dans ses ordonnances, afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix » (Ep 2:14-15).

L’ABOLITION DES ORDONNANCES

Dans Éphésiens 2:14 et 15, Paul dit : « Car c’est lui qui est notre paix, lui qui des deux n’en a fait qu’un et qui a renversé le mur de séparation, l’inimitié, ayant anéanti par sa chair la loi des commandements dans ses ordonnances, afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix ». Je crois que ce qu’il a vu et expérimenté dans Actes 15-28 l’a conduit à écrire des paroles aussi catégoriques. En écrivant cela, il se disait peut-être : « Toutes les ordonnances de la loi ont été abolies. La circoncision, le vœu de naziréat et même le vœu que j’ai fait ont été abolis ».

Paul a peut-être regretté le vœu qu’il avait fait dans Actes 18 ainsi que d’avoir circoncis Timothée dans Actes 16. Si j’avais été avec lui lorsqu’il écrivait Éphésiens, je lui aurais peut-être dit : « Frère Paul, j’aimerais apprendre de toi. Puisque Christ a aboli toutes les ordonnances, pourquoi as-tu encore circoncis Timothée à Lystre ? » Si quelqu’un avait posé cette question à Paul, il aurait peut-être répondu : « J’ai fait cela il y a longtemps, et je le regrette. Je ne circoncirai plus jamais personne ».

Quand Paul a écrit Éphésiens 2, il était bien plus perfectionné qu’au moment où il avait circoncis Timothée dans Actes 16. Ses expériences dans les chapitres 15-28 des Actes l’ont conduit à être plus catégorique à propos de la circoncision. Je ne crois pas que, sans les expériences décrites dans ces chapitres, Paul aurait pu écrire un chapitre comme Éphésiens 2.

Il est utile de comparer les paroles de Paul sur la circoncision dans Galates avec ce qu’il dit concernant l’abolition des ordonnances dans Éphésiens 2. Probablement, l’épître aux Galates a été écrite avant Actes 16. Dans Galates 6:15, il dit : « Car ce n’est rien que d’être circoncis ou incirconcis ; ce qui est quelque chose, c’est d’être une nouvelle créature ». En réalité, ces paroles laissent encore une certaine marge à la pratique de la circoncision. Mais dans Éphésiens 2, ses paroles sont absolues, et il n’y a aucune base pour la pratique de la circoncision.

Paul a appris de tout ce qui s’est passé dans Actes 15-28. Je crois que durant les deux années où il a été en détention à Césarée, il a revu tout ce qui s’était produit. En le faisant, il a peut-être pensé : « Si j’en ai l’occasion, j’aimerais écrire une autre lettre et dire quelque chose de plus complet sur la circoncision que dans Galates. Je ne dirai pas seulement que la circoncision n’est rien ni l’incirconcision, mais je dirai que toutes les ordonnances, en particulier celles concernant la circoncision, ont été abolies. Si je pouvais réécrire l’épître aux Galates, je dirais aux croyants que la circoncision a été abolie à la croix. Je leur dirais de ne pas pratiquer la circoncision, car elle offense le Seigneur et l’insulte. Nous ne devons plus pratiquer quoi que ce soit que le Seigneur a aboli à la croix ».

En étudiant la Bible, nous pouvons comparer Éphésiens et Galates concernant les ordonnances sur la circoncision. Si nous le faisons, nous verrons que ce que Paul dit dans Galates n’est ni aussi catégorique ni aussi complet que ce qu’il dit dans Éphésiens. Dans Éphésiens 2, il ne laisse aucune base à la circoncision.

UN AVERTISSEMENT CONCERNANT LA MUTILATION

Dans Philippiens 3, Paul utilise un terme négatif très fort pour désigner la circoncision : la mutilation. Dans Philippiens 3:2, il dit : « Prenez garde aux chiens ! Prenez garde aux mauvais ouvriers ! Prenez garde aux faux circoncis ! » L’expression « faux circoncis » ici peut aussi être traduite par « mutilation », et c’est un terme de mépris. Comme il n’y a pas de conjonction entre les trois propositions, elles doivent se référer au même type de personnes.

Les chiens sont impurs (Lv 11:4-8), les ouvriers sont mauvais et la mutilation désigne ceux qui méritent le mépris. « Chiens » fait référence aux judaïsants. Par nature, ils sont des chiens impurs ; par leur comportement, ils sont de mauvais ouvriers ; et dans leur religion, ils sont la mutilation, des personnes honteuses. Paul est certainement très catégorique en exhortant les Philippiens à se garder des chiens, des mauvais ouvriers et de la mutilation. Ici, il affirme que les judaïsants, ceux qui promeuvent la circoncision, sont des chiens.

Que pensez-vous que Paul aurait dit si, à la lumière de ses paroles dans Philippiens 3:2, on lui avait posé des questions sur Jacques ? Il aurait peut-être dit : « Jacques n’est certainement pas un chien, mais d’une certaine manière, il a agi comme tel. C’est mon cher frère. Comme je le respectais, je suis allé le voir. Mais quand il m’a parlé, j’ai entendu quelque chose qui ressemblait à l’aboiement d’un chien ».

En lisant Philippiens 3, nous voyons que Paul a été fortifié par ses expériences dans Actes 15-28, et particulièrement par le temps qu’il a passé à Césarée. Grâce à ce renforcement, il a dit aux croyants de se garder des chiens et de la mutilation. Dans Philippiens, il ne parle même plus de circoncision, mais utilise à la place un terme de mépris : la mutilation. Comme il a été catégorique en écrivant cette épître !

Lorsqu’il écrivait Philippiens 3, Paul était plus catégorique que lorsqu’il écrivait Galates et Romains. Dans Romains 2:28-29, il dit : « Le Juif, ce n’est pas celui qui en a les apparences ; et la circoncision, ce n’est pas celle qui est visible dans la chair. Mais le Juif, c’est celui qui l’est intérieurement, et la circoncision, c’est celle du cœur, selon l’Esprit et non selon la lettre. Son louange ne vient pas des hommes, mais de Dieu ». En réalité, ce qu’il dit ici de la circoncision n’est pas très catégorique. Une certaine base pour la pratique de la circoncision subsiste encore. Mais dans Philippiens 3:2, il n’y a aucune base pour la circoncision, qui est désormais appelée fausse circoncision, ou mutilation, une pratique promue par des chiens.

Dans Philippiens 3:8, Paul dit : « Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l’excellence de la connaissance de Christ Jésus, mon Seigneur, pour lequel j’ai renoncé à tout ; je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ ». Le mot « boue » désigne « détritus, déchets, immondices, ce qui est jeté aux chiens, nourriture de chiens, excréments ».

D’abord, Paul exhorte les croyants à se garder des chiens, puis il indique que ce que ces chiens, les judaïsants, enseignent est de la nourriture pour chiens. Encore une fois, nous voyons l’évolution de Paul dans ses écrits.

Profitez davantage : Hymne 339

vendredi 17 janvier 2025

Étude des Actes, chapitre 25, message 66, semaine 30, vendredi

ÉTUDE QUOTIDIENNE DES ACTES
MESSAGE SOIXANTE-SIX

LA PROPAGATION EN ASIE MINEURE ET EN EUROPE
PAR LE MINISTÈRE DE PAUL ET DE SES COMPAGNONS (32)

SEMAINE 30 – VENDREDI
Lecture biblique: Actes 16:37-38; 22:25-26; 23:11-15; 25:1-12

Lire et prier: «Quand ces choses furent accomplies, Paul forma dans son esprit le projet de se rendre à Jérusalem en passant par la Macédoine et l’Achaïe. Il disait: Après que j’y serai allé, il faut aussi que je voie Rome.» (Actes 19:21)

IL FAIT APPEL À CÉSAR

En traitant avec Paul, Festus se montra rusé et proposa que Paul se rende à Jérusalem pour y être jugé devant lui. À ce sujet, nous lisons en 25:9: «Festus, qui voulait plaire aux Juifs, répondit à Paul: Veux-tu monter à Jérusalem pour y être jugé sur ces choses en ma présence?». Cette proposition révéla la corruption d’un autre politicien romain. Ici, nous voyons encore une fois la corruption des politiciens romains.

Paul était sage et perçut la subtilité de la proposition de Festus. Selon le verset 10, Paul répondit fermement: «Je comparais devant le tribunal de César, c’est là que je dois être jugé. Je n’ai fait aucun tort aux Juifs, comme tu le sais parfaitement bien.» Les paroles de Paul concernant le «tribunal de César» indiquaient à Festus qu’il avait l’intention de faire appel à César.

Au verset 11, Paul poursuivit en disant: «Si donc j’ai commis une injustice ou un crime digne de mort, je ne refuse pas de mourir; mais si les choses dont on m’accuse sont fausses, personne ne peut me livrer pour être agréable à ces gens. J’en appelle à César.» Le César auquel Paul fit appel était Néron.

Pour se défendre, Paul voulait faire appel à César. Sans cet appel, l’apôtre Paul aurait pu être tué par les Juifs à cause du traitement injuste que Festus lui réservait, et ainsi sa vie n’aurait pas été préservée pour terminer le cours de son ministère. L’appel de Paul à César répondait à son désir de voir Rome pour l’avancement du témoignage du Seigneur (19:21; 23:11). Sans cet appel, il aurait été tué par la conspiration des Juifs (23:12-15; 25:1-3, 9) et n’aurait pas pu écrire les huit dernières Épîtres.

Avant son appel à Rome, Paul avait écrit seulement six Épîtres: 1 et 2 Thessaloniciens, Galates, Romains, et 1 et 2 Corinthiens. C’est pendant sa première captivité à Rome qu’il écrivit Colossiens, Éphésiens, Philippiens et Philémon. Ce fut après sa première libération qu’il écrivit 1 Timothée, Tite et Hébreux. Enfin, lors de sa seconde captivité, il écrivit 2 Timothée.

Quelle lacune il y aurait eu dans la révélation divine et quelle perte l’Église aurait subie s’il n’y avait pas eu ces huit dernières Épîtres! Son appel apporta vraiment un grand avantage et bénéfice à l’intérêt du Seigneur. Dans Actes 25:12, nous lisons: «Alors Festus, après avoir délibéré avec le conseil, répondit: Tu as fait appel à César, tu iras devant César.» Le conseil ici était le conseil de la province romaine, composé de conseillers ou d’assesseurs choisis par le gouverneur de la province, auxquels celui-ci faisait habituellement appel pour des cas comme celui de Paul.

Pourquoi Paul fut-il si audacieux en faisant appel à César? Paul fut audacieux dans cette affaire parce qu’en tant que citoyen romain, il connaissait la loi romaine. Il savait que s’il faisait appel à la loi romaine, Festus n’aurait pas d’autre choix que de respecter son appel. Sans aucun doute, les politiciens romains étaient corrompus, mais le gouvernement romain avait des lois solides qui permettaient à Paul de faire appel à César.

À deux occasions précédentes, Paul utilisa sa citoyenneté romaine. Au chapitre seize, Paul dit à ceux qui l’avaient emprisonné: «Après nous avoir battus publiquement sans jugement, nous qui sommes citoyens romains, ils nous ont jetés en prison; et maintenant, ils nous font sortir secrètement? Il n’en sera pas ainsi. Qu’ils viennent eux-mêmes nous faire sortir!» Les officiers rapportèrent ces paroles aux préteurs, qui furent effrayés en apprenant qu’ils avaient affaire à des citoyens romains (16:37-38).

Plus tard, alors que Paul allait être interrogé sous la torture, il dit au centurion présent: «Est-il permis de battre de verges un citoyen romain qui n’est pas condamné?» En entendant cela, le centurion alla avertir le tribun en disant: «Que vas-tu faire? Cet homme est citoyen romain!» (22:25-26). Paul connaissait la valeur de la citoyenneté romaine. Il savait que la loi romaine protégeait les citoyens romains et qu’elle interdisait à quiconque de les maltraiter. Maintenant, au chapitre vingt-cinq, Paul, conformément à la loi romaine, fit appel à César.

Profitez davantage: Cantique 47

Le Dommage de la Seconde Mort, semaine 3, mercredi, chapitre 4

LE DOMMAGE DE LA SECONDE MORT - Réflexions sur le millénium Chapitre 4 LA DISCIPLINE DANS LE ROYAUME (2) SEMAINE 3 - MERCREDI Lecture bibliq...