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dimanche 4 mai 2025

L’administration de l’église et le ministère de la parole, semaine 8, chapitre 10, dimanche

L’ADMINISTRATION DE L’ÉGLISE
ET LE MINISTÈRE DE LA PAROLE

CHAPITRE DIX : LE CHOIX DU MATÉRIEL
POUR LE MINISTÈRE DE LA PAROLE

SEMAINE 8 - DIMANCHE
Lecture biblique : Éph 2.11-22

Lire et prier : « Car qui est-ce qui te distingue ? Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Et si tu l’as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l’avais pas reçu ? » (1 Co 4.7)


L’ÉGLISE DOIT URGEMMENT
RÉALISER L’ŒUVRE D’ÉDIFICATION
PAR LE MINISTÈRE DE LA PAROLE

Nous avons atteint le point critique du besoin urgent d’édification. Si nous nous contentons de sauver des pécheurs et de les instruire, nous ne ferons que répéter l’œuvre du christianisme des cent dernières années. Cette œuvre n’a pas produit l’édification ni la demeure de Dieu.

Lorsqu’une personne est édifiée à Kaohsiung, si elle quitte cette ville pour aller à Hualien ou Tainan, elle demeure édifiée. Même si elle quitte Kaohsiung, elle ne quitte pas l’édifice ; elle fait toujours partie de la maison spirituelle. Cette maison n’est pas limitée par le temps ou l’espace. Partout où elle ira, elle sera édifiée dans le Corps de Christ. Dans l’édification unique de Dieu dans l’univers, elle est une personne édifiée.

C’est différent d’une personne simplement sauvée. C’est différent d’une personne spirituelle. Elle est édifiée. Seule une telle personne peut faire partie de la demeure de Dieu et fonctionner comme membre du Corps de Christ partout où elle se trouve.

Dieu a besoin d’un groupe de personnes ainsi sur la terre aujourd’hui. Il a un besoin urgent d’une œuvre d’édification. Si nous voulons participer à cette œuvre, nous avons besoin de l’administration de l’église, et plus encore du ministère de la parole. Le ministère de la parole vient en premier, puis l’administration de l’église.

Actuellement, notre plus grande lacune est dans le ministère de la parole. C’est un problème très sérieux. Toutes nos réunions sont pauvres, faibles, déficientes, froides, mortes et superficielles, parce qu’il nous manque le ministère de la parole. L’administration de l’église vient en second en ordre d’importance. Ainsi, les frères qui parlent toujours depuis la chaire doivent considérer ce sujet sérieusement et s’efforcer d’apprendre la leçon concernant le ministère de la parole.

Nous ne devons jamais nous reposer sur l’âge. Autrement dit, nous ne devons pas penser que, parce que nous parlons depuis de nombreuses années, nous pouvons simplement préparer un message à partir de nos anciennes notes et de nos livres de référence. Un tel message n’aura aucune valeur ni aucun impact. Il ne touchera pas les autres et n’atteindra pas le but.

Nous devons apprendre à toujours déranger les frères lorsqu’ils entendent un message. Ils doivent être touchés même s’ils oublient le sujet ou perdent le contenu. Ils doivent avoir l’impression d’avoir été piqués par un insecte. En conséquence, ils ne pourront pas se reposer après la réunion, car quelque chose aura été injecté en eux.

Les sœurs doivent aussi avoir cette capacité lorsqu’elles rendent visite aux autres. Demander aux gens s’ils ont lu les Écritures ou prié les met mal à l’aise. Nous ne devons pas être morts ; nous devons apprendre à être vivants et aussi développer certaines compétences. Peut-être ne mentionnerons-nous rien de spirituel, mais inconsciemment, une injection spirituelle est administrée. Peut-être parlerons-nous aux gens du monde qu’ils aiment, mais à la fin de notre conversation, ils se sentent « piqués ». Ils ne peuvent pas se reposer et se sentent troublés. Nous devons apprendre à faire cela.


LE MINISTÈRE DE LA PAROLE ET
LE SERVICE DANS L’ÉGLISE DOIVENT
AVOIR UNE COORDINATION VIVANTE

Nous devons partager, par la prière et la réflexion, avec ceux avec qui nous servons, le contenu de notre parole. Lorsque je servais dans le nord de la Chine, entre 1940 et 1943, il y avait un frère dont la situation était toujours dans mes pensées. Parfois, je ressentais un fardeau pendant que je parlais depuis la chaire, et je disais alors que ce frère avait besoin d’une visite. Les frères qui m’écoutaient recevaient un fardeau et allaient le visiter.

Aujourd’hui, cependant, comme tous s’efforcent de se démarquer lorsqu’ils parlent pour devenir célèbres, ils ne sont pas préoccupés par le fait de recevoir un fardeau. Cela ne peut pas être considéré comme un service.

C’est regrettable que les frères du nord de la Chine ne soient pas sortis du continent. Les messages qu’ils donnaient répondaient aux besoins pratiques et n’étaient pas préparés à la hâte. Lorsque les saints revenaient de leurs visites aux frères, ils présentaient un rapport. Le lundi matin, nous partagions au sujet de la condition des saints, de huit heures du matin jusqu’à trois heures de l’après-midi. Parfois, nous jeûnions même et priions pour eux.

Par conséquent, nous avons appris de nombreuses leçons. Nous étudiions comment aider ceux qui avaient des problèmes et comment y faire face. Fréquemment, après avoir été visitée, une personne était vivifiée. Notre parole et nos visites agissaient en harmonie. Toutefois, cette harmonie ne résultait pas de discussions, mais était spontanée. C’est cela la véritable et pratique action coordonnée.

La parole donnée depuis la chaire était vivante, et ceux qui venaient aux réunions l’étaient aussi. Beaucoup de saints étaient stupéfaits de voir comment les messages répondaient à leurs besoins spécifiques. Chaque fois qu’ils venaient à une réunion, leurs problèmes étaient résolus. La parole touchait leurs problèmes et leur intérieur ; ainsi, leurs problèmes étaient résolus et leurs besoins satisfaits. Ce qui était dit était une parole vivante.

Cela a duré presque deux ans, car ceux qui servaient recherchaient une parole vivante, et non un simple discours routinier. Ils n’étaient ni désorganisés ni négligents, et ne parlaient pas n’importe quoi. C’est pourquoi, partout où ils allaient, leur direction dans l’église était vivifiante.

La meilleure période de notre coordination dans le ministère de la parole fut entre 1940 et 1943. La situation actuelle ne se compare pas à celle que nous avions alors. À cette époque, la coordination entre ceux qui servaient et ceux qui administraient la parole était vivante. Imprimer quelque chose n’était pas aussi facile qu’aujourd’hui, et il n’y avait pas autant d’organisation, mais tout était vivant.


CONCLUSION

En résumé, nous ne pouvons pas être individualistes. Nous devons apprendre à dépendre des autres, en nous appuyant sur eux pour notre vie. Nous devons apprendre à agir en coordination avec les autres dans notre service. Nous ne devons pas utiliser des ordonnances mortes ni prononcer des messages morts. Au contraire, nous devons chercher un moyen vivifiant et apprendre les leçons. De plus, nous devons recevoir un fardeau et comprendre les besoins des gens. Nous devons connaître les divers problèmes des saints, des enfants, des jeunes et des personnes âgées.

Sur la base de cette connaissance, nous pourrons toucher les personnes âgées, les jeunes et les parents lorsque nous parlons. Tous ceux qui entendront le message seront touchés. L’église a besoin de cette parole vivante qui apporte une situation vivante.

Aujourd’hui, nous trouvons la mort dans toutes nos réunions. La réunion des enfants, la réunion des jeunes et la réunion du dimanche sont toutes conduites selon des ordonnances mortes. Ces réunions sont sous notre responsabilité. Nous ne pouvons pas continuer ainsi. L’œuvre du Seigneur et l’église subissent une grande perte, et la plus grande responsabilité incombe à ceux qui administrent la parole. L’approvisionnement dans le ministère de la parole est important pour les enfants, les jeunes, les parents, les personnes âgées et les saints qui travaillent.


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Musique avec voix :

jeudi 17 avril 2025

L’administration de l’Église et le ministère de la parole, semaine 5, chapitre 7, jeudi

L’ADMINISTRATION DE L’ÉGLISE  
ET LE MINISTÈRE DE LA PAROLE

CHAPITRE SEPT :  
L’ÉDIFICATION DE L’ÉGLISE REQUIERT  
UNE CONSÉCRATION TOTALE

SEMAINE 5 - JEUDI
Lecture biblique : Col 1 ; Ga 4

Lire et prier : « Maintenant je me réjouis dans mes souffrances pour vous ; et ce qui manque aux afflictions de Christ, je l’achève en ma chair, pour son corps, qui est l’Église » (Col 1.24)


UNE CONSÉCRATION INCOMPLÈTE EST UNE SOURCE  
DE PROBLÈMES DANS LE SERVICE

Tous savent beaucoup de choses sur la consécration, mais peu comprennent clairement comment elle affecte notre vie. Les problèmes rencontrés par certains serviteurs peuvent être liés à la consécration. Il ne s’agit pas ici d’offrandes matérielles. La consécration est une nécessité fondamentale pour que Dieu accomplisse une œuvre d’édification sur la terre à travers nous.

Ce n’est pourtant pas une doctrine creuse, mais une question personnelle et pratique. Des conditions inadéquates parmi ceux qui servent révèlent une consécration incomplète ou incohérente. Tous nos problèmes, difficultés et souffrances sont liés à la consécration. Plus nous cherchons le repos et le confort, moins nous avons besoin d’être consacrés. Si nous ne voulons aucune souffrance, il n’est pas nécessaire de nous consacrer.

Nous ne devons pas accuser le Seigneur de nous envoyer des souffrances. Celles-ci sont la conséquence de notre consécration. Certains disent que nos souffrances viennent du Seigneur. En réalité, les véritables souffrances des chrétiens sont causées par eux-mêmes. Si nous ne voulons pas souffrir, il suffit de ne pas nous consacrer.

On peut être zélé, prêcher l’évangile et même ministérer la parole sans être consacré. Dans le christianisme institutionnalisé, on peut réussir sans souffrir. Les catastrophes naturelles et les calamités provoquées par les hommes sont la part de tous. Mais une personne non consacrée est épargnée d’une grande partie des souffrances.

C’est comme si les apôtres de l’Église primitive recherchaient la souffrance. S’ils n’avaient pas été si intègres et droits, s’ils avaient fait des concessions, ils n’auraient pas tant souffert. En cédant, ils n’auraient pas été persécutés par la religion juive ni par l’Empire romain. Leurs souffrances étaient la conséquence directe de leur consécration. Ils ont attiré les souffrances sur eux-mêmes à cause de leur consécration.

Les souffrances de l’apôtre Paul furent le fruit de sa consécration. Il aurait pu aimer et servir le Seigneur sans souffrir s’il n’avait pas été aussi intègre, aussi radical et extrême dans sa consécration. Paul dit : « Maintenant je me réjouis dans mes souffrances pour vous ; et ce qui manque aux afflictions de Christ, je l’achève en ma chair, pour son corps, qui est l’Église » (Col 1.24). Paul s’est consacré de plein gré. Il déclara : « Mes enfants, pour qui j’éprouve de nouveau les douleurs de l’enfantement, jusqu’à ce que Christ soit formé en vous » (Ga 4.19). La bonne volonté de Paul venait de sa consécration.


NOUS NE POUVONS RÉALISER L’ŒUVRE
D’ÉDIFICATION SI NOTRE CONSÉCRATION
EST INCOHÉRENTE

Contrairement à ce que nous voyons dans les Écritures, notre situation semble montrer une consécration qui s’affaiblit constamment. Nous pouvons être d’excellents chrétiens et aussi de très bons prédicateurs aux yeux du monde. Pourtant, nous sommes incapables de réaliser la véritable œuvre d’édification de l’Église parce que notre consécration est incohérente. Lorsque nous nous consacrons totalement, les saints parfois ne l’approuvent pas. Ils préféreraient que nous soyons plus conciliants dans notre service, c’est-à-dire plus modérés, neutres ou moins radicaux.

Si nous voulons être chaleureusement accueillis par les autres, il nous suffit de faire quelques concessions dans notre service au Seigneur. Au moins soixante-dix pour cent des saints nous soutiendront si nous servons de manière plus conciliante. Cependant, si nous choisissons d’être totalement intègres dans notre consécration, et ce de façon continue, le nombre de ceux qui nous soutiennent diminuera, et nos souffrances augmenteront.

À l’ère apostolique, les apôtres étaient persécutés partout où ils allaient. Aujourd’hui, pourtant, peu de prédicateurs sont persécutés. Ce n’est pas parce que nous vivons à une époque différente ou parce que le monde est plus favorable aux chrétiens. C’est parce que la consécration de ceux qui servent le Seigneur n’est pas comparable à celle des apôtres dans l’Église primitive.

Les prétendus serviteurs du Seigneur d’aujourd’hui ont perdu la consécration des premiers apôtres. Si tous les serviteurs se consacraient comme les premiers apôtres, ils souffriraient beaucoup, connaîtraient des détresses et des privations. Beaucoup de jeunes nouent des relations dans la perspective de se marier et de fonder une famille, ce qui est tout à fait nécessaire. Cependant, ce que nous avons observé nous pousse à nous demander si ces relations renforcent ou affaiblissent leur consécration. Nous ne pouvons pas condamner les jeunes, mais ils doivent se demander si leur consécration a été renforcée ou affaiblie. Il est possible qu’ils réfléchissent à l’avenir de leur service, de leur charge ou de leur fonction. Mais ces réflexions sont-elles un signe de renforcement ou d’affaiblissement de leur consécration ?

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jeudi 13 mars 2025

Comment être utile au Seigneur, semaine 3, chapitre 6, vendredi

COMMENT ÊTRE UTILE AU SEIGNEUR

CHAPITRE SIX

SEMAINE 3 - VENDREDI

Lecture biblique : 2 Co 12:7-9 ; Ph 3:12-14

Lire et prier : "Et il m'a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers dans mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi." (2 Co 12:9)

CINQ QUESTIONS POUR NOTRE EXERCICE (3)

La véritable consécration, c'est laisser Dieu œuvrer en nous. Ce n'est pas nous qui travaillons pour Dieu, comme la plupart des gens le pensent. La véritable consécration, c'est laisser Dieu œuvrer en nous. Ce n'est pas pour que nous travaillions pour le Seigneur.

Beaucoup de personnes pensent qu'après s'être consacrées, elles doivent travailler pour le Seigneur. Elles ignorent que se consacrer, c'est permettre au Seigneur d'œuvrer en elles, c'est-à-dire lui permettre d'accomplir l'œuvre de traitement en elles. Par notre consécration, le Seigneur obtient le droit et réagit en commençant à œuvrer en nous. Ainsi, la consécration vient d'abord, puis le Seigneur traite avec nous.

Bien sûr, il y a parfois des exceptions. Parfois, le Seigneur veut gagner quelqu'un, mais cette personne refuse de se consacrer. Le Seigneur veut la conquérir, mais elle refuse de dire oui. Le Seigneur veut œuvrer en elle, mais elle ne coopère pas et ne le laisse pas accomplir son œuvre. Alors, que doit faire le Seigneur ? Il doit créer des situations pour lui donner un "coup" dans ses affaires et dans sa santé. Ce n'est pas encore le brisement, mais juste un "coup" pour la contraindre à ne pas avoir d'autre choix que de se consacrer, d'accepter le Seigneur et de lui dire oui. La véritable discipline et le brisement viennent après la consécration. Ce n'est qu'après nous être consacrés que nous pouvons être véritablement disciplinés.

Les coups mentionnés précédemment sont externes. Même la maladie physique est externe. Ce sont des coups portés à la situation, mais pas un traitement du "moi" intérieur. Après que tu te sois consacré, le Seigneur commence à traiter ton "moi". Nous savons tous que le Seigneur a traité avec Paul non seulement une fois, mais pendant une longue période. Il a dit qu'une écharde dans la chair lui avait été donnée. À cause de cette écharde, il a demandé trois fois au Seigneur de l'éloigner de lui, mais le Seigneur ne l'a pas fait (2 Co 12:7-9).

Le Seigneur a laissé l'écharde en Paul, et ainsi le traitement ne l'a jamais quitté. Pourquoi ? Parce qu'il n'avait pas encore renoncé à sa chair. Nous devons toujours nous rappeler que, avant d'être transfigurés et enlevés, peu importe combien le Seigneur nous a traités, notre chair reste inchangée. Ainsi, nous devons vivre sous le traitement du Seigneur quotidiennement.

C'est un véritable paradoxe : une personne avec qui le Seigneur n'a pas traité ne ressent pas qu'elle est charnelle. Tous les jours, sa chair est active, mais elle ne s'en rend pas compte. En revanche, la personne avec qui le Seigneur traite quotidiennement a une forte conscience de la présence de sa chair et réalise qu'elle est véritablement charnelle. Il semble que, si elle parle, elle est charnelle, et si elle ne parle pas, elle l'est aussi. Peu importe ce qu'elle fait, elle sent qu'elle est charnelle.

Cette expérience est appropriée. Plus le Seigneur nous traite, plus nous ressentons la chair. Ainsi, nous nous soumettons à lui et disons : "Seigneur, je suis très misérable." C'est une bonne situation, une excellente situation. Si tu penses qu'après que le Seigneur t'a traité une fois, cela a été un succès, que ta chair a été brisée et que ta nature a été purifiée, alors tu te trompes. Tu n'as pas été brisé.

Même à l'époque où il a écrit l'épître aux Philippiens, Paul disait qu'il n'avait pas encore été perfectionné, qu'il n'avait pas encore atteint la perfection et qu'il ne l'avait pas encore obtenue. Il poursuivait toujours et le Seigneur continuait de traiter avec lui (Ph 3:12-14). Il est vrai que certains, même en vieillissant, restent inutiles entre les mains du Seigneur. Pourquoi ? Parce que, même âgés, ils ne permettent toujours pas au Seigneur de traiter avec eux. Nous ne sommes jamais diplômés de l'école de la discipline du Seigneur.

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Le Dommage de la Seconde Mort, semaine 3, mercredi, chapitre 4

LE DOMMAGE DE LA SECONDE MORT - Réflexions sur le millénium Chapitre 4 LA DISCIPLINE DANS LE ROYAUME (2) SEMAINE 3 - MERCREDI Lecture bibliq...